Chloé, une aide-soignante de 22 ans, a contacté RMC pour partager son histoire concernant Kiura, son chat adopté en septembre. Consciente des risques, elle avait souscrit une assurance santé pour Kiura chez Agria, moyennant une vingtaine d’euros par mois. Cette précaution s'est avérée judicieuse quand, deux jours plus tard, Chloé a retrouvé Kiura gravement blessé, avec une patte cassée et un os déboîté, nécessitant une hospitalisation et une opération coûteuse de 630 €.
Après le rétablissement de Kiura, Chloé a soumis la facture à Agria pour remboursement. Cependant, l'assurance a tardé à répondre et a finalement refusé de rembourser, évoquant des suspicions de fraude car l'accident s'était produit seulement deux jours après la souscription de la police. Agria a refusé de fournir des preuves à l'appui de ses accusations, invoquant la confidentialité des procédures.
L'intervention de RMC a été décisive. Suite à cette dernière, Agria s'est engagé à traiter le dossier de Chloé en priorité. Et il semble peu probable que que Chloe n'obtienne satisfaction. Il est important de rappeler que, selon l'article 2268 du Code civil un assureur doit apporter la preuve d'une éventuelle fraude pour refuser un remboursement. Ceci implique une enquête approfondie pour établir la mauvaise foi de l'assuré.
Nous saluons l'action de RMC qui, une fois de plus, a joué un rôle crucial dans la défense des victimes d'injustices.