L’album, il est double mais sur le format d’un simple, format génial déjà trouvé lors du précédent opus, s’appelle « le chat passe à table » et, j’utilise l’expression car elle figure dans un des tableaux de l’expo, c’est à pisser de rire... je me suis tordu de rigolade durant une bonne heure, il y a des trouvailles à crever de rire.
Et toujours cette tendresse phénoménale envers les chats, soutenue par cet humour de Bruxelles, le Zwanze, irrésistible et d’une délicatesse totale sous des traits faussement énormes...
Voilà, je ne veux surtout pas déflorer le bouquin mais quand le chat affirme que l’Italie ressemble en effet à une botte mais qu’alors la Floride est une bite, je me tiens les côtes !
Quand le chat ne peut pas voir sa balance le matin à cause de l’érection matinale qui lui cache sa prise de poids, moi qui prend deux kilos juste en pensant au mot chocolat, je suis en empathie totale avec ce félin diaboliquement créateur...
Les deux albums s’appellent donc « Il n’y a pas un chat » et « le chat est parti ».
Allez, j’en donne encore une, juste pour vous forcer à aller acheter l’album la mitraillette (de l’humour) dans les reins...
« Si Zorro avait eu un portable, il aurait utilisé un numéro masqué »...
Voilà, cela me permet au passage de saluer tous mes amis belges, qui m’auront fait passer quelques unes des plus grosses rigolades de ma vie.
Moi qui suis athée, j’affirme pourtant que Geluck est un dieu.
En tous cas, cher Philippe, merci d’exister !
Dans toute chronique dithyrambique, il faut un teasing...
Et bien je donne le début de la meilleure de ce double album.
« Si les seins ce sont les glandes mammaires... »
Pour avoir la suite et faire un tabac à chaque dîner, achetez l’album, rien que celle-là vaut les 17,95 euro de l’achat !
L’album devrait d’ailleurs être remboursé par la sécurité sociale, Geluck c’est la fin de tous les états dépressifs, garanti.